samedi 7 novembre 2020

Le Cookeo, mon nouvel ami

Un nouvel ami est entré dans ma vie, le Cookeo.

J’en avais très envie et par un heureux concours de circonstances, il se trouve que je l’ai reçu en cadeau. Un cadeau béni. Je ne fais pas partie de ces femmes qui se vexent si on leur offre de l’électroménager, enfin ça dépend, le jour où MDC m’avait offert un aspirateur alors que je voulais un nouvel appareil photo numérique, je l’avais un peu mal vécu, son argument était « mais l’aspirateur est un Dyson »,  mon aspirateur Carrefour aspirait très bien et je ne suis jamais arrivée à ouvrir le Dyson pour le vider... Si quelqu’un est volontaire pour m’offrir un Thermomix, je prends, sans râler et même avec un grand sourire et plein de remerciements...

Du coup depuis que j’ai mon Cookeo, je cuisine au quotidien avec. 

Avec le Cookeo, je fais dorer, puis je cuis en pression, ou je fais mijoter si besoin est. Il maintient au chaud et il réchauffe. Bref j’en suis tout à fait in love. Mon modèle est un modèle de base, avec 100 recettes intégrées, pas de Wifi, mais j’avoue que je m’en moque car dans ma cuisine le Wifi ne passe pas.

J’ai déjà fait de nombreux plats avec, maintenant cel fait plus d’un mois que je l’ai, et l’avantage pour moi qui avais l’habitude de cuisiner en très grosse quantité, est que je respecte la quantité que peut contenir la cuve du Cookeo, qui est déjà assez importante et je cuisine des quantités inférieures à ce que je faisais avant mais qui me permettent tout de même de congeler.

Donc je dois dire que je suis sous le charme de cette grosse boule blanche qui trône fièrement à la cuisine.

J’ai fait de la confiture avec mon Cookeo, j’avoue que j’avais trop chargé la mule et que j’en ai eu de partout, vive le nettoyage et que ça m’a servi de leçon car maintenant je fais très attention à ne pas trop remplir l’engin.

Je ne cuisine pas vraiment tous les jours car je fais de gros plats, pareil pour la soupe. Par exemple, j’ai fait du rougail saucisses, j’en ai donné à MDC, j’en ai mangé avec un ami invité à dîner, puis j’ai congelé le reste, environ deux belles portions que j’ai mangées avec Géraldine, avant le confinement, j’ai fait des paupiettes avec pommes de terre et champignons, là c’est repas pour 3 personnes (oui, 3 paupiettes) nous étions deux, j’ai monté le repas chez MariThé ma voisine car nous aimons bien partager des repas, du coup il m’est resté une portion pour le lendemain.





Je n’ai jamais su utiliser la cocotte minute, tout a toujours attrapé dedans avec moi, en plus avec les mains peu valides j’ai toujours eu du mal à ouvrir la cocotte. Là, je respecte les proportions, et j’arrive presque facilement à ouvrir le Cookeo, donc la vie est belle pour moi. Et puis par le plus grand des hasards sur l’application du Cookeo, j’ai vu qu’on peut faire les gruaux de riz. Je suis la page Facebook de  MadrePerla ainsi que son site tout beau tout neuf, qui est diététicienne en Médecine Traditionnelle Chinoise, qui publie de nombreuses recettes fabuleuses, j’en ai déjà testé pas mal, et les gruaux de riz sont une spécialité de la MTC et très bons et pour la santé, avec le Cookeo, je vais pouvoir faire du gruau en riz en le programmant la veille pour le lendemain, autant dire si je suis ravie, mon gruau se fera pendant que je suis au dodo...

Depuis l’arrive de Mr Cookeo dans ma vie, je me suis abonnée à plusieurs pages Facebook dédiées à cet ustensile et je découvre tous les jours de nouvelles recettes à faire fort goûteuses, c’est comme ça que j’ai redécouvert le plaisir des œufs cocotte... Enfin je vous raconterai ça une autre fois, la je vous laisse en compagnie de quelques photos.

vendredi 6 novembre 2020

Le Stoemp

En début de semaine une de mes amies belges parlait du Stoemp. En bonne gourmande qui se respecte je voulais savoir ce que c’était, de plus je suis d’origine belge, je suis donc intéressée par les plats que cuisinaient mes lointaines ancêtres. En effet mon quadrisaïeul a quitté  Strijpen, Oost-Vlaanderen, en Flandres en 1860 pour émigrer et se marier en Picardie, mais notre nom de famille perdure, du coup, mon chéri qui est belge lorsqu’il arrive chez moi me dit bonjour Mme D... avec l’accent ce qui nous amuse  beaucoup tous les deux.

Bref, j’ai fait des recherches sur le Stoemp, il faut prononcer Chtoump, qui de plus est un plat d’origine flamande et je me suis lancée. C’est à la base une écrasée et pommes de terre et de légumes. Selon le site Bien de chez nous, il faut en général y mettre 2/3 de légumes pour 1/3 de pommes de terre. J’ai respecté, et j’ai décidé de faire un stoemp de chou-fleur car c’est un légume que j’adore. Bien sûr pour la cuisson des légumes j’ai mis mon cher Cookeo à contribution, légumes vapeur, que j’ai ensuite écrasés au presse purée manuel avant de mélanger les oignons et lardons cuits ensembles. 

J’ai joué de la fourchette pour faire un semblant de décorations sur mon plat et je l’ai mis au four.

Alors bien que vivant seule, je fais toujours des gros plats, je sais, ne vous étonnez pas, j’en donne à ma voisine et à MDC, je mange plusieurs fois sur le plat ou je congèle...



Ce plat est un régal que je déclinerai avec d’autres légumes, certainement mon cher potimarron d’amour. On peut le manger pour accompagner des saucisses, des œufs, des alouettes sans têtes, des paupiettes, toutes sortes de viandes je pense.

Une fois de plus je trouve que la cuisine maison et simple est terriblement goûteuse. 

Une de mes amies dit qu’avec moi on fait le tour du monde culinaire, je pense que chaque pays a des plats basiques et goûteux et que c’est bien de les adopter si nous les aimons.

jeudi 5 novembre 2020

Chronique 2 du second confinement, confiture de poires et tartiflette aux poireaux

 Lundi

Après mes Click’nd Collect de la journée je n’ai plus bougé. J’ai eu longuement mon amie Annie au téléphone, je suis passée voir ma voisine et amie MariThé, avec Kiara bien sûr, en respectant les distanciations, j’ai monté mes thermos et nous avons bu le thé. Il est important pour les gens vivant seuls de maintenir un contact réel avec quelques personnes. Nous reprenons nos habitudes du premier confinement.


Une amie m’avait donné des poires bio, je les ai épluchées, coupées, sucrées et vanillées puis mises à infuser dans un saladier. Ensuite je les ai mises au Cookeo 10 minutes, la suite de la cuisson s’est effectuée le lendemain dans une marmite et en rajoutant un peu de sucre et de pectine. 

Et ensuite, à moi Star Wars!!!

Encore un jour où j’ai l’impression de n’avoir rien fait et où les douleurs de mon dos et de mes bras m’assurent que j’ai poussé le bouchon trop loin, comme Maurice!!!


Mardi

Et hop, levée vers 9 heures, j’aime bien traîner au lit le matin, puis je suis allée investir la cuisine dont je viens de sortir.

J’ai mis ma confiture de poires dans la marmite et hop à feu doux.

J’ai préparé une tartiflette avec en plus des poireaux pour le déjeuner, j’en donnerai à ma voisine, j’an congèlerai un peu aussi.





Recette de la confiture de poires méthode Lola 

Il faut des poires, j’en avais 1,6 kg après les avoir épluchées, 1,4kg. J’ai mis 600 grammes de sucre roux (je n’utilise plus de sucre raffiné depuis des années, en fonction de l’utilisation et des prix, je prends du sucre, blond, roux ou brun), j’ai ajouté de la vanille et j’ai laissé reposer durant 3 heures pour que les poires lâchent du jus.

J’ai mis dans la cuve du Cookeo, j’ai ajouté un pot de yaourt en verre rempli d’eau et hop en cuisson sous pression durant 10 minutes.

J’ai transvasé dans ma marmite, j’ai mélangé 5 grammes de pectine avec 50 grammes de sucre, j’ai ajouté aux poires pré-cuites, j’ai couvert et j’ai laissé reposer toute la nuit.

J’ai fait recuire ma confiture durant environ une demie-heure. J’ai rajouté 2 grammes d’agar-agar, laissé bouillir 2 minutes et mis en pot, les pots sont retournés la tête en bas. J’ai 4 pots.


Recette de la tartiflette aux poireaux

La semaine dernière, au marché, j’avais acheté un botte de jolis poireaux, petits comme je les aime avec une idée de tartiflette dans la tête. Lors de mes courses, j’ai pris du reblochon... Moi une idée fixe, non pas du tout...

Du coup ce matin pendant que la confiture frémissait, j’ai pelé les pommes de terre que j’ai cuites à la vapeur au Cookeo. Durant la cuisson, j’ai finement coupé 2 oignons, 1 grosse gousse d’ail, puis mes poireaux. J’ai sorti mes pommes de terre, lavé la cuve, mis le Cookeo en mode dorer, mis un peu d’huile d’olive et j’ai jeté dedans ail et oignon. Lorsqu’ils ont commencer à être bien dorés, j’ai ajouté les poireaux, lorsqu’il ont été translucides, j’ai ajouté le petit salé, quelques minutes de cuisson, et hop le tour été joué.

J’ai mis ce mélange en sous couche dans un plat en verre, j’ai mis les pommes de terre par dessus, j’ai salé, poivré, ajouté un peu de crème fraîche liquide, et le reblochon coupé , j’ai ensuite mis au four à 180° une bonne vingtaine de minutes.


Mercredi

Rien à raconter, suis en mode off, la fibromyalgie est là... Lit, thé, Netflix (Le jeu de dames, Holydate), chats...





 Jeudi 

Toujours Tien à raconter, toujours off, Netflix (Rebecca), replay (Dix pour cent), changé mon lit, mis la couette d’hiver avec la housse Hello Kitty, j’ai une plantation de chats sur le lit...


lundi 2 novembre 2020

Chronique 1 du second confinement...

 Jamais je n’aurais cru écrire cela.

La semaine dernière, mercredi, le président de la république nous a annoncé le reconfinement. Et hop, on en prend pour un mois. 




Jeudi, un terroriste tue trois personne à la Basilique Notre-Dame à Nice, dans ma ville. Un choc, c’est mon église, celle où je vais, celle où mon fils a fait sa profession de foi, où nous avons dit les derniers aurevoirs à ma maman. 

Le centre ville était bouclé, je n’ai pu faire les choses prévues avant le confinement...

Vendredi, le confinement a commencé, je n’ai pas eu l’impression car dans la rue il y a autant de monde que d’habitude, des gens sans masque aussi, surtout... Puis j’ai reçu les SMS de certaines enseignes qui ne vendent rien d’essentiel (à mon sens, style GIFI, Phildar...) au quotidien mais qui rentrent ouvertes, je suis décontenancée...

Dans les supermarchés règne une atmosphère de temps de guerre, les rayons sont vides, les gens se jettent sur la nourriture. Les mêmes qui ont fait des stocks délirants pour le premier confinement ont encore sévi. Mes placards sont pleins, mon congélateur aussi, mais pas plus que d’habitude. Mardi, je suis allée au marché, j’ai acheté des fruits et des légumes de manière raisonnable. Je suis surtout allée au marché pour acheter des coings pour faire de la gelée, du coup j’ai profité pour prendre divers légumes que j’aime, venant du circuit court, j’ai fait deux gratins d’aubergines, j’aime congeler en portions pour les jours où mon corps ne souhaite pas coopérer.




Enfin, je suis prête pour le nouveau confinement, j’ai de quoi manger, de quoi coudre, de quoi tricoter, de quoi lire, j’ai Netflix, Amazon Prime et Disney +...

Aujourd’hui c’est lundi, je suis allée chercher au Click’nd Collect de Décathlon ma commande qui devait arriver avant le confinement mais qui a pris le chemin des écoliers et qui n’est arrivée que samedi, bien pratique cette méthode. Je suis passée devant la Basilique Notre-Dame, je me suis arrêtée devant et je me suis recueillie. 







Du coup, vu que je sortais, j’ai fait aussi un Click’nd Collect Alice Délice, j’ai pris de la pectine, j’ai un kilo et demi de poires bio que je vais faire en confiture, ça va être top, et j’ai fait un saut à mon Casino où j’ai pris des huiles de noisettes et de noix. 




Il fait gris, j’ai mis ma polaire violette, j’ai mangé mon plat de prédilection du moment, riz et potimarron avec de la sauce soja et de l’huile de sésame, je vais prendre une tasse de thé et attaquer ma confiture de poires en regardant un téléfilm de Noël. 

Je vous souhaite un confinement serein, que chacun reste prudent, respecte les règles en vigueur. 

mardi 27 octobre 2020

La saga des pâtes fraîches

 Il y a très très longtemps, mon premier fiancé était d’origine italienne et il m’avait offert une machine à pâtes.
Nous avons fait des pâtes, des raviolis à gogo durant les 4 ans que nous avons passés ensemble. Puis je l’ai quitté et il n’a pas pas voulu me rendre ma machine à pâtes...
Durant le confinement, nous discutions avec MariThé de pâtes fraîches, de mon envie d’essayer d’en faire, et là elle me dit qu’elle a la machine, achetée 23 ans plutôt lorsque son époux était encore en vie, et qu’elle ne l’avait jamais utilisée. Je lui ai demandé  si elle voulait bien me la prêter. Je l’ai récupérée en juillet, avant qu’elle ne parte en villégiature dans sa maison familiale de La Brigue, et je dois dire que depuis elle a pas mal servi.

Je voulais tester les nouilles Soba (nouilles de sarrasin) pour un repas japonais. J’en ai fait plusieurs fois mais je ne suis pas satisfaite, je ne maîtrise pas encore la façon de faire des sobas qui ne collent pas, pourtant nous avons fait quelques dîners où elles ont été fort appréciées mais comme je suis assez perfectionniste en cuisine, je n’ai pas été sous le charme.




Depuis le confinement, j’ai découvert les farines de blés anciens. Elles sont plus facilement digestibles pour les intolérants au gluten, si on en mange à petites doses. Du coup, j’ai fait plusieurs fois des pâtes fraîches aux œufs et nous nous sommes régalés. Une fois avec de l’ail passé à la poêle avec de l’huile d’olive, des tomates fraîches épluchées et épépinées, de la mozzarella et du basilic, et une fois avec le bœuf bourguignon de MariThé. 

J’ai aussi fait de petites ravioles de potimarron, une fois pour tester et pour le repas de Mabon. C’est goûteux, assez chronophage à faire si on est seule, avec de l’aide, je mettrai moins de temps. 




Ayant la chance de pouvoir utiliser la machine de MariThé, je m’en donne à cœur joie et je n’hésite pas à lui proposer de faire des pâtes fraîches pour elle lorsque ses enfants viennent. Je compte essayer de faire des lasagnes avec de la pâte fraîche, des nouilles Udon et aussi les pâtes fraîches sans gluten, recette Cléa.


Je retrouve des plaisirs simples à faire cette cuisine, cela me rappelle mon enfance au cabanon, papy et mamie entrain de faire les gnocchis maison... Du coup à propos de gnocchis, je vais tester les gnocchis au potimarron, potimarron à la place des pommes de terre et farine. Nous avons décidé de nous y mettre avec MariThé car je ne possède pas la technique de façonnage des gnocchis.

dimanche 25 octobre 2020

J’ai retrouvé Cléa

 Il y a longtemps, en 2007, il me semble, j’avais été à une séance de dédicaces à la FNAC pour le livre de Cléa sur l’agar-agar. Depuis j’ai acheté d’autres bouquins de cuisine de Cléa car j’apprécie beaucoup ses recettes. Puis j’ai fait ma geekette et j’ai remisé mes livres pour la tablette. Il y a quelques mois j’ai fait du tri dans mes bouquins, il y a certains livres dont je n’ai pas voulu me séparer, notamment certains bouquins de cuisine, et parmi eux ceux de Cléa...


Je les ai rangés dans la bibliothèque et puis je les ai laissés là. Lorsque je suis rentrée de La Brigue, début septembre, nantie de mes potimarrons, il y avait le livre de Cléa, Variations autour du potimarron qui semblait me narguer... Du coup, je l’ai sorti, je l’ai compulsé et je suis tombée in love de plusieurs recettes dont les madeleines complètement oranges que je fais et que je refais inlassablement tant elles sont bonnes et appréciées des gens qui les goûtent chez moi. 



Ma copine Alf m’avait prêté ses moules à madeleines, je comptais en acheter car comme c’est une recette que je fais souvent il me semblait nécessaire de posséder mes propres moules et vendredi nous sommes allées à Emmaus larguer des cartons de vaisselle et autre de chez ma mère, nous en avons profité pour faire un tour et j’ai trouvé un moule de 18 madeleines pour 1€, inutile de dire que je l’ai tout de suite pris comme ça je vais rendre ceux de ma copine.


Donc pour en revenir à Cléa,  pour le moment j’ai fait la tarte provençale au pesto et fromage de brebis, qui s’est avérée fort bonne, d’autant plus que j’avais fait le pesto maison avec le basilic ramené de La Brigue, un peu lourde à digérer pour moi cependant, et les madeleines, je testerai d'autres recettes car tout me tente dans ce livre.


Et comme j’avoue sans honte que j’adore cuisiner, je me suis offert « Chiche!?! Pois chiche, houmous et Cie en 30 recettes » et je vais tester la recette de pâte fraiches sans gluten dont Cléa livre la recette aussi sur le net sur le site Because-Gus dédié aux sans gluten, mon prochain achat de livre sera d’ailleurs Tout sans Gluten de Cléa

Comme je suis une fan d’houmous et de falafels, je sens que les légumineuses en tous genres vont squatter ma cuisine cet hiver. 



J’ai d’ailleurs dit à ma voisine que cette semaine nous allons faire une Socca, j’ai acheté cet été une petite plaque à socca, nous avions testé et aimé, donc il faut recommencer.

Pour les non niçois qui ne connaissent pas, la Socca est une sorte de crêpe à la farine de pois-chiche, qui est normalement cuite au four à bois, et qu’on mange salée avec un verre de vin rosé ou de blanc, ou une bière, enfin ce qu’on veut, mais il faut l’arroser pour que le plaisir soit totalement au rendez-vous.

Lorsque j’ai découvert Cléa (il y a longtemps), je ne cuisinais pas de la même manière qu’aujourd’hui, j’avoue que les ingrédients qu’elle utilisait pour les recettes me dérangeaient, j’accommodais donc à ma sauce... Depuis je suis passée au sans gluten, au bio, à plus de produits végétaux, j’ai totalement changé ma façon de cuisiner et là je me sens totalement en adéquation avec les recettes de Cléa et je conseille ses bouquins à toutes celles désireuses de manger goûteux et sain. 

Pour les Japan Addict, sachez que Cléa a vécu un an au Japon, qu’elle a publié un bouquin sur les ingrédient japonais et que sur son blog on trouve pas mal de recettes japonaise, revisitées ou pas. Alors oui bien sûr je possède son livre et bien d’autres sur la cuisine japonaise car c’est une autre de mes passions et je m'en régale bien souvent, mais ce sera l’objet d’un prochain post car cette fois, croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer, je compte bien revenir de manière assidue sur le blog, ce serait dommage avec tout son contenu que je le laisse en friche.



Nota-Bene : Cet article n'est pas sponsorisé, je suis juste une fan de la première heure de Cléa.

mardi 20 octobre 2020

J'ai fêté Mabon II

 Et oui, un an après avec La Team, nous avons à nouveau fêté Mabon. Pour les infos sur Mabon, je vous invite à consulter le post que j'avais écrit il y a un an lors de notre première célébration.

Il faut dire qu'en un an nous avons progressé sur les célébrations avec Alf ma copine sorcière. Du coup nous avons préparé cette célébration fingers in the nose, si j'ose dire!!! Un brain storming au cours duquel nous avons surtout parlé du menu, nous sommes des gourmandes invétérées, (et moi j'aime toujours autant cuisiner), deux ou trois Face Time, des tas de docs partagés au travers de nos iPhone, de longs coups de fil et hop c'était bouclé.
Nous sommes des sorcières modernes, nous sommes connectées... Il faut profiter du confort de la technologie tout en faisant que les légendes et traditions perdurent au travers de nous.



Le matin de Mabon, je suis allée faire deux courses et j'en ai profité pour m’arrêter chez la fleuriste dans la rue derrière chez moi, elle a ouvert juste après le confinement, je vous mets le lien de sa page Facebook car elle n'a pour le moment pas de site internet, mais je vous conseille d'y faire un saut, c'est 40, rue Pastorelli, L'Olivia Fleuriste, c'est une jeune femme fort sympathique qui pratique des prix tous doux, qui a des belles fleurs et plantes et des objets déco très originaux et ethniques. Le bouquet que vous verrez en photo ne rend pas du tout justice à son travail car j'ai des exigences particulières, en effet les membres de La Tribu adorent les fleurs, pas pour les contempler mais pour les occire, du coup je suis obligée de prendre de minuscules bouquets que je mets dans mon autel des ancêtres, pour vous donner une idée, mon autel des ancêtres est dans une niche de 30x30 et il n'y a pas que le vase avec les fleurs dedans...

Bref, ma journée a été chargée car j'ai voulu innover au niveau culinaire, j'ai fait des ravioles de potimarron et mozzarella. C'est excellent mais assez long à faire...
Pour la prochaine session de ravioles je solliciterai l'aide d'un des membres de La Team car j'ai eu du mal à tout boucler toute seule, il faut dire aussi que comme d'habitude j'avais placé la barre assez haut et qu'il a fallu que je me montre à la hauteur de mes ambitions culinaires.
Mon menu était composé ainsi : ravioles de potimarron curry mozzarella, rôti de porc au four avec un méli-mélo de légumes de saison (potimarron, oignons, pommes de terre et betteraves), mousse de potimarron et madeleines complètement oranges (au potimarron, of course, recette d'après le livre de Cléa, Variations autour du potimarron). 
Je pense que vous aurez compris que j'aime le potimarron, en fait je n'aime pas, j'adore et depuis le début du mois de septembre où les potimarrons ont fait leur apparition sur les étals, je ne compte pas combien j'en ai acheté. Mes tous premiers de la saison, je les avais achetés à La Brigue, le village de mon amie et voisine où j'avais été passer 4 jours de vacances, j'en avais ramené 4, et ils n'ont pas fait long feu chez moi!!! Je ne prends que des bios afin de pouvoir manger la peau.




Nous avons donc célébré l'abondance, la joie et l'amitié avec un petit cocktail que j'avais concocté, sirop de potimarron (maison), vodka, jus de cranberries et cidre. C'était divin, et cela a super bien entamé la soirée.

J'ai eu la surprise de voir Alf, ma sorcière, débarquer toute de noir vêtue avec son chapeau de sorcière, c'était très drôle car j'avais revêtu ma robe de druide. On était totalement yin-yang toutes les deux et j'ai trouvé ça vraiment génial.

Tout comme l'an dernier j'avais confectionné du beurre de pommes que j'ai offert à mes amies et j'avais fait des bougies dont j'avais gravé le verre pour qu'on se souvienne de notre seconde célébration de Mabon. Je compte d'ailleurs en refaire pour Samhain que nous célébrerons le 31 octobre. 

Je prends de plus en plus goût à célébrer ces fêtes dites païennes, qui ne sont en fait que les célébrations des saisons, des récoltes, des solstices et des équinoxes. Je suis ravie de vivre au rythme des saisons, de consommer des produits de saison et locaux, je trouve que c'est dans la normalité, c'est ainsi que j'ai grandi dans mon enfance provençale et campagnarde. 


Le Cookeo, mon nouvel ami

Un nouvel ami est entré dans ma vie, le Cookeo. J’en avais très envie et par un heureux concours de circonstances, il se trouve que je l’ai ...