Ce matin, je me trouvais chez les hommes seule avec Florian lorsque mon téléphone, mon S4 honni, se met à sonner, c'etait mon époux qui me demandait un peu angoissé si la chienne était avec moi.
Bien sur que non, lui répondis-je, elle était avec toi lorsque je suis sortie, là affolé il me repond qu'il ne la trouve pas et va patrouiller dans le quartier. Inquiète mais ayant des choses à faire avec Florian, j'expedie ce que j'ai à faire et je rentre. Là, je retrouve mon mari, blême, qui me dit qu'il ne trouve pas l'animal. Je rentre au Nid, j'appelle, Gaïa, Gaïa, pas de réponse... Pas de cocker frétillant... Là très inquiète, affolée, je lui dis on va refaire tout le quartier. Nous sortons de l'immeuble et je lui dis que nous allons tout de même prendre une laisse au cas où on la retrouverait, je rentre, j'ouvre la porte et là qui vois-je arriver en frétillant, l'air très fière d'elle et particulièrement stupide...
Bon je dois dire que j'etais soulagée, tellement soulagée que je ne lui ai rien dit de ne pas s'être manifestée car la chamelle m'avait déjà fait ce coup-là une fois... Alors ma peste, maintenant, ne vient que lorsqu'elle en a envie, de même que le matin, si elle estime que son père veut la sortir trop tôt, râle, et que nous avons surnommée vu son addiction et sa façon de les éventrer, "Le typhon des poubelles"...
Voilà, c'etait en direct du Nid, où nous avons tout de même eu une belle frayeur pour laquelle on peut dire merci Gaïa...
J'avais partagé l'autre jour sur mon mur Facebook une recette de tartes aux tomates anciennes offerte gracieusement par Herta, il me semble, pour vanter une de ses pâtes toutes faites.
Alors j'avoue honnêtement que vu l'état de mes mains, des mes cervicales, vu mon état général tout court, je ne fais plus les pâtes maison depuis longtemps...
Hier soir je fais un saut au grand U pas loin de la maison, et là que vois-je dans leur sublimissime rayon de fruits et légumes, des tomates anciennes!!!
Et hop, dans mon panier des jaunes, des violettes, des oranges et des rouges, un bouquet de basilic frais, une pâte à pizza, une boule de mozzarella, la vraie, celle de bufflonne et j'avais tous mes ingrédients...
Ce matin j'ai déroulé ma pâte sur mon tapis en silicone à boules, il faudra d'ailleurs que je vous le montre et que je vous en parle, j'ai mis mes tomates coupées en rondelles dessus, la prochaine fois je piquerai la pâte, un peu d'huile d'olive, un peu de sel aux baies roses, mon basilic finement ciselé, ma mozzarella en tranches disposée de manière harmonieuse, j'ai salé la mozzarella et j'ai enfourné 20 minutes à four 200°, chaleur tournante.
Et bien je peux vous dire que c'était un régal et que la prochaine fois pour que ce soit encore meilleur, je ferai un pesto maison pour mettre à la place du basilic.
Enfin toujours est-il qu'il n'en reste pas...
Et oui comme bon nombre de personnes j'ai cédé à l'appel médiatique de ce livre.
Je ne vais pas parler de politique car c'est un sujet que je ne souhaite pas aborder sur mon blog, je ne dirai qu'une chose, je suis apolitique, je suis catholique, je vote car je fais mon devoir de citoyenne mais vous n'en saurez pas plus.
Je suis parti avec un à priori contre l'auteur dont je n'avais que l'image médiatique et antipathique qu'elle renvoyait, j'ai découvert une femme sensible, intelligente, fine, une femme qui a grimpé les échelons à la force du poignet, qui a du supporter les railleries de son compagnon sur le milieu dont elle est issue, sur sa famille...
Alors, chez moi, on a toujours dit, "le linge sale se lave en famille".
Je suis d'accord.
Je pense que lorsqu'on occupe une fonction aussi prestigieuse que président de la République on se doit d'être irréprochable, on ne se montre pas allant chez sa maîtresse conduisant son scooter.
Mr Mitterand a mené une vie parallèle pendant ses deux septennats sans que l'existence de sa fille illégitime ne soit dévoilée.
Il existe un devoir de réserve, de discrétion, de pudeur, et on se doit de protéger ses proches.
Que reste-t-il de cette affaire?
La France a été une fois de plus la risée des médias du monde entier, l'affaire Clinton-Lewinsky est une rigolade à côté de tout le battage médiatique fait autour de cette histoire.
Il reste les douleurs et les souffrance d'une femme trompée, bafouée, au niveau international.
Mme Trierwieler, je ne vous aimais pas car l'image que vous avez renvoyée durant ces 20 mois à l'Elysée n'était pas bonne...
Comment aurait-elle pu l'être avec ce que vous traversiez au quotidien.
J'ai été une femme trompée au vu et au su de tout un chacun, tout comme Mme Trierweiler, j'ai été avertie en dernier et il a fallu affronter les regards, les moqueries, la pitié et je peux vous dire que ça fait mal et qu'il est dur de remonter la pente.
Vous avez écrit ce brûlot qui raconte votre histoire afin que les français découvrent la face cachée de l'homme qui les gouverne. Alors bien que cela dérange mon sens des convenances et de la bienséance je vous dis bravo pour ce livre dans lequel vous livrez sans fard, vos joies, vos peines, votre souffrance, toutes les épreuves par lesquelles vous êtes passées vous nous les racontez simplement, comme vous les raconteriez à une copine.
Les ors de la République ne sont pas une place enviable pour une "Première Dame de France" légitime, ils sont impitoyables pour la compagne d'un président de la République.
Ce monsieur qui a prôné le mariage pour tous sauf pour lui...
Toutes mes excuses pour ce que j'ai pu penser de vous, évidemment faire suite à Carla Bruni-Sarkosy, née avec une cuillère en or dans la bouche n'était pas chose aisée pour quelqu'un qui s'est construite toute seule et à laquelle le compagnon qui a su trouver en elle son moteur lors des mauvais jours n'a pas voulu donner sa légitimité lors des bons.
Depuis quelques temps au rayon viande de divers supermarchés, on trouve des Mincerettes de porc.
Alors, les mincerettes de porc, qu'est-ce-que-c'est? Ce sont des côtes de porc sans os finement tranchées. Alors depuis quelques temps c'est la mode car on en trouve dans presque tous les rayons viandes des supermarchés, je me suis donc dit pourquoi ne pas essayer. Jusqu'à présent, je les ai faites grillées, coupées en menus morceaux et cuisinées au wok avec des légumes sautés à l'asiatique, enfin bref j'ai testé diverses manières de les faire. La dernière fois que je suis allée à mon épicerie asiatique, j'ai acheté de la panure pour tempura car cette panure toute fine et légère me faisait envie.
Lorsque j'ai proposé à mon fils de venir dîner, ce dernier m'a demandé ce que je lui proposait... C'est que Monsieur a ses exigences et que si je prononce le mot légumes il part en courant... Je lui ai donc proposé des escalopines panées et des frites. Je n'allais pas me perdre dans l'explication des mincerettes au téléphone...
Je suis donc ensuite allée voir mon légendaire Namoureux, Mr Picard, et là finalement, j'ai pris des röstis car nous aimons cela tous les deux et que je trouvais cela plus sympa que des frites, j'ai pris aussi des palets de légumes pour moi car j'adore ça et je savais que j'avais une laitue iceberg au réfrigérateur, fils et moi tenons de papa et nous sommes très salade.
Dès mon retour, j'ai sorti mon marteau attendrisseur à viande de chez le suédois de mon cœur, Ikea pour ceux qui ne savent pas, ma planche en plastique et je me suis mise à taper sur mes mincerettes afin qu'elles soient encore plus fines.
Je les ai ensuite passées dans la farine, empilées dans un plat, le temps que je tourne la tête Miss Gaïa de la Belle Andrine, cocker de haute lignée en avait déjà volé au moins deux, puis j'ai battu deux œufs entiers dans une assiette avec du lait, j'ai trempé mes escalopes dedans et je les ai mises au fur et à mesure, les unes après les autres, dans la panure recto-verso..
Avec le restant d'oeuf et de panure, j'ai fait une espèce de galette que ma grand-mère appelait "Le Gourmand".
Ensuite cuisson traditionnelle d'une escalope dans un mélange mi-huile mi-beurre, d'ailleurs il va falloir celui dont on fait la pub à la télé car ce doit être très bien...
Nous les avons mangées après les avoir faites un peu réchauffées accompagnées des röstis et de la salade et c'était fort bon.
La panure à tempura est plus fine et craquante qu'une chapelure traditionnelle et utilisée pour faire cuire ces aliments tout minces c'etait divin.
Tu fais quoi Lola en ce moment?
Et bien, je procrastine...
Tu procrastines? Ooooh, pas bien ça...
Non j'exagère car tout de même j'ai fait bien des choses mais je vous ai un peu laissées tomber alors que j'ai plein de choses à vous raconter depuis mon retour de Paris...
D'abord à mon retour de Paris m'attendaient les 2 Box PTLF commandées en juin, celle pour femme et celle ado fille. Donc si je dois recommander cette box, définitivement je prendrai celle ado fille, en effet en juin j'avais eu un gaufrier pour faire de mini gaufres à mettre sur un bâtonnet comme les pop cakes, et celle de septembre a été très bien, par contre celle pour femme c'est la loose totale à mon goût... J'ai aussi reçu My Little Box, ma Birchbox et différents accessoires pour ma cuisine commandés chez Cookishop.
Bien sur j'ai tout de même aussi cuisiné... Taboulé, plat de tomates faciès pour mon ado, passé du temps avec Minou Thor...
D'ailleurs ma cuisine, tiens parlons en...
Les travaux avancent, lentement, trop à mon goût bien sur mais sûrement...
J'ai déjà l'évier, les plans des travail et le lave-vaisselle qui fonctionnent... Toutes les arrivées et évacuations d'eau ont été refaites, cet après-midi peut-être que nous aurons le renfort d'une paire de gros bras pour descendre le lave-linge du 3ème étage, et si c'est le cas, ce soir lave-linge et sèche-linge fonctionneront... Là, je ne vous dis pas, je piaffe d'impatience et mon panier à linge aussi...
Puis cette semaine, le Nid a été un peu rangé, tant que la cuisine n'est pas terminée je ne peux pas ranger tout comme je le voudrai, mais il fallait une revue de casernement pour que ce soit un peu convenable car j'ai reçu mon amie Christine et son mari, venus comme tous les ans en vacances à Nice, pour une daube maison et des raviolis top moumoutes de chez le raviolisseur number one du Vieux-Nice...
Et comme le repas était un peu léger, en dessert, j'avais faire par mon boulanger adoré, Stéphane, de "La Boulangerie" 3, rue Blacas - Nice, une tarte Tropézienne gigantesque et sublime. C'est que pour la Tropézienne, je place la barre très haut car dans mon enfance, les cousins de Papi du cabanon avaient un restaurant à Saint-Tropez et venaient tous les mercredis avec la vraie Tropézienne, donc inutile de vous dire que je ne la prends là que parcequ'elle est juste sublime, à tomber, à se lécher les 5 doigts et le pouce aurait dit ma maman...
Alors ça se sont toutes les choses positives. Les choses négatives sont que je souffre énormément de mes cervicales, que j'ai un mal fou à utiliser mon bras droit et ma main droite et que les gestes du quotidien sont bien souvent très difficiles à faire, ce qui explique aussi mon absence du blog car je ne tiens pas un blog pour vous faire le recensement de mes douleurs, ce serait trop long à écrire et trop fastidieux à lire pour vous... Donc et bien j'ai fait camembert, j'ai fermé ma grande bouche et je ne vous ai rien raconté depuis mon retour de Paris, mais là, je dois dire qu'écrire commençait vraiment à me manquer et que malgré les douleurs je me suis dit, allez Lola, go, car si tu ne t'y remets pas maintenant, tu ne t'y remettras plus jamais...
Et oui elle est comme ça Lola, c'est ou tout ou rien...
Je vous mets donc quelques photos de ma réception, de la daube, de la tarte Tropézienne, de Christine et moi et du splendide bouquet de fleurs qu'elle m'a fait envoyer par Aquarelle et qui trône hors d'atteinte du Vénérable Sekhmet qui malgré son grand âge a fort envie de massacrer mes belles fleurs...
Je vais donc essayer dans le weekend de rattraper mon retard et de programmer mes articles pour quelques jours afin de vous raconter tout ce que j'ai reçu, de mon haul parisien et de vous parler de Cookishop...
En attendant je vous souhaite un bon weekend et je m'en vais faire ma sacro-sainte sieste.
Et oui, je suis rentrée...
Un peu triste de quitter mon amie Apolline avec qui j'ai fait plein de choses fabuleuses, un peu triste aussi de quitter Paris qui est une ville que j'adore et où plein d'endroits me rappellent des souvenirs d'enfance mais aussi contente de rentrer chez moi et d'y retrouver les miens...
Alors nous n'avons pas fait la tournée des grands ducs au niveau restaurant, nous avons tranquillement pic-niqué les pieds en éventail sur mon lit, dans ma chambre d'hôtel, quelque peu épuisées par les milliers de pas parcourus.
Lundi sous une pluie battante, nous sommes parties aux Invalides dont mon hôtel était tout proche, en arrivant dans Saint Louis Des Invalides où je voulais me recueillir, nous avons eu la chance d'entendre l'organiste qui répétait et là je dois dire que j'ai vécu un moment inoubliable.
Ensuite nous avons voir le tombeau de Napoléon Ier, et je dois dire que j'ai été déçue de le voir poussiéreux... L'entrée des Invalides est payante, Napoléon a jeté les bases juridiques de la France, nous fonctionnons encore pour beaucoup de choses avec le code Napoléon et on laisse son tombeau mal entretenu, et bien franchement je suis choquée et peinée...
Mardi matin, nous avons fait une petite virée chez H&M, Rue de Rivoli, où je me suis livrée à un show en essayant des chaussures.
Ensuite, nous avons été au Palais Galliera, Musée de la Mode, où il y avait une rétrospective des années 50, Yves Saint-Laurent, Christian Dior, Schiaparelli, Poiray, Vionnet, bref nous en avons eu plein les yeux, malheureusement pas de photographies, cela était interdit par contre les apprenties stylistes viennent dessiner et recopier les modèles sans qu'on ne leur dise quoique ce soit, c'est un peu dommage... Enfin, nous avons scruté tous les modèles et nous avons réussi à trouver quelques imperfections, et oui même en haute couture, du coup nous étions très fières de nos réalisations!!!
Le soir, après que j'ai passé l'apres-midi avec Léa, l'amie de ma mère dont l'époux vient de décéder, nous nous sommes retrouvés avec Apolline et son fils Aurélien, toujours sur mon lit où nous avons bu du champagne tout en grignotant. Une bien belle soirée, très conviviale, très amicale et j'espère les avoir bientôt tous deux à Nice!!!
Mercredi matin, direction métro Notre Dame de Lorette, où je rencontre Samantha Sheppard, de la Sambox, de Teatimetroc Box, avec qui je passe un moment merveilleux et bien sur je n'ai pu résister au plaisir d'une petite visite au stock Repetto qui était juste à coté... Pas bien Lola, shame on me... L'apres-midi, direction le Parc André Citroën et le ballon météorologique géo-stationnaire qui nous a emmenées à 150 mètres au dessus de Paris, là je dois dire que j'ai réalisé mon rêve d'enfance, rêve que j'ai depuis que j'ai lu "Le Tour du Monde en 80 Jours" de Jules Verne.
En rentrant ma chère Apolline m'a aidé à préparer mes bagages, et oui le départ était pour le lendemain, et elle m'a enseignée une super technique pour faire sa valise, on roule ses vêtements en boudin, pas de plus de pliage et ils tiennent moins de place, du coup quand Apolline est partie mes bagages étaient bouclés, à mon grand soulagement.
Mercredi soir, j'ai rencontré Jocelyne, la maman de Gibbs, le frère de ma Gaïa et nous avons passé une merveilleuse soirée où nous avons mangé asiatique, comme si nous nous étions toujours connues et bien sur nous avons parlé, entre autres choses de nos twins adorés qui font tant de bêtises.
Jeudi matin, j'ai laissé mes bagages à l'hôtel, retour chez H&M pour ramener la robe des rêves de Phanie qui n'était pas dans sa taille à Nice.
Je retrouve Apolline au métro Bastille et nous partons au Muséum d'Histoire Naturelle qui a été refait il y a peu et où les animations sont féeriques. On se balade au milieu des troupeaux d'animaux pendant qu'un spectacle son et lumière se déroule dans tout le Muséum, alternant aube, journée, orages, pluie, crépuscule, nuit... Bref nous avons trouvé cela fabuleux.
Vu qu'il faisait beau, et oui cela arrive à Paris, nous avons pic-niqué dans le Parc du Muséum face à une serre qui m'a fait penser à celle de Poudlard, et oui on voit les Harry Potter addicts...
Nous avons été ensuite au restaurant salon de thé de La Grande Mosquée de Paris où nous avons dégusté un délicieux thé à la menthe accompagné de gâteaux orientaux...
Puis l'heure tournant, nous sommes reparties à l'hotel récupérer mon paquetage, nous avons pris un taxi pour la Gare de Lyon où mon amie m'a accompagnée jusqu'au train. Nous nous sommes séparées en nous promettant de nous revoir très vite. 6 heures plus tard, j'étais de retour chez moi où m'attendais le Vénérable Sekhmet. Le lendemain matin je récupérais ma Peste ravie et toujours aussi fofolle...
