lundi 25 février 2019

Les soirées de Lola, les films d’animation

Je profite du fait que durant ces vacances scolaires d’hiver les chaînes de télévision diffusent pas mal de films d’animation pour les regarder.
J’ai commencé en louant Dragons 1 et 2 en VOD avant d’aller voir le 3, puis TMC a diffusé « Moi moche et méchant » la semaine dernière et le second ce soir, j’ai aussi vu « Les mondes de Ralph » et je compte très vite aller voir « Ralph 2.0 ».
Il se trouve que j’ai hiberné durant quelques années et que j’ai du retard à rattraper, du coup je m’y emploie activement depuis quelques mois. J’ai découvert « Coco » et « Vice-versa » et là je continue de combler mes lacunes culturelles.
C’est très drôle, depuis un an j’ai beaucoup changé, mûri, appris, je suis devenue Lola à 100% , l’enfant intérieur qui est en moi a laissé sa place à la femme qui avait envie d’émerger et avec cette renaissance j’ai retrouvé le goût de regarder des films d’animation.
Ces films dits « pour enfants » sont en fait porteurs de messages très forts pour les adultes. De plus, je suis bon public, je suis quelqu’un qui rit quand c’est drôle ou qui pleure quand c’est triste ou émouvant, mais cela sans me forcer, c’est naturel, dans ma personnalité. Du coup je découvre des merveilles, qui m’enchantent visuellement et qui me font éprouver des émotions très intenses. 
Lorsque j’ai vu « Coco » pour la première fois, j’ai ressenti tellement d’émotion  et de bonheur que je l’ai revu plusieurs fois et qu’ensuite j’ai continué à voir d’autres films d’animation. Mon enfant intérieur se régale de voir ces merveilles et la femme que je suis devenue aussi.

J’apprécie du coup que les différentes chaînes de télé nous fassent le merveilleux cadeau de ces diffusions. D’ailleurs, demain soir il y a « Là-haut », je vais encore passer une belle soirée, et je les enchaîne car dimanche soir j’ai regardé « Les aventures de Rabbi Jacob » que j’ai déjà vu et revu maintes fois mais que je trouve toujours aussi hilarant et j’ai enchaîné avec « Moi moche et méchant » car je savais que ce soir il y avait le second. Je suis bien au chaud chez moi, j’ai bien dîné, je suis dans mon lit tout chaud avec mes chats d’amour et c’est le bonheur.





samedi 23 février 2019

Sœurs, Bernard Minier

Cette semaine, entre autres choses, j’ai lu. 
J’aime la lecture, je dévore les livres depuis que j’ai appris à lire, goût dont mon ado a aussi hérité pour mon plus grand bonheur. 
Encore un policier, un policier d’un écrivain que j’aime beaucoup Bernard Minier. 
J’ai lu tous ses livres depuis son premier que mon fils avait offert à ma mère pour une fête des grands-mères. 
L’intrigue de ces ouvrages se passe entre Toulouse et les Pyrénées, et on y retrouve des personnages récurents comme le commandant Martin Servaz et son équipe.
Comme de bien entendu dans ce 5ème opus, le commandant Servaz est là. Au début, flash-back et on découvre le jeune Martin Servaz qui débute dans la police et se retrouve avec une affaire des plus glauques. Vingt-cinq ans plus tard, un nouveau meurtre ramene d’étranges souvenirs dans la tête de Martin Servaz et les liens avec cette vieille affaire ne lui apparaissent que trop clairement...
J’ai bien sûr adoré retrouver le commandant Servaz et son équipe, les descriptions de la campagne toulousaine (région que j’adore) et surtout l’énigme est puissante et ne laisse aucun instant de répit... Je n’ai eu de cesse que d’avancer dans ma lecture pour finir ce livre pour découvrir le lien entre l’ancienne affaire et la nouvelle et pour tout savoir.

Je recommande cet ouvrage, si vous avez lu les premiers, en effet, il y a des renvois aux opus précédents et les avoir lus assure une meilleur compréhension.


L’okonomyaki de Lola

Dans mon dernier article je vous parlais de mon addiction à la cuisine asiatique. Du coup, aujourd’hui, je me suis lancée pour faire de l’okonomyaki.
Pour un premier test, j’ai fait simple, je n’avais pas tous les ingrédients de garniture, mais je trouve que le résultat n’est déjà pas mal.
Bien sûr ma recette est gluten free, par contre il y a un oeuf, du dashi (poudre de bonite) et du porc. Donc une recette qui ne convient pas ainsi pour mes amis vegans.



L’okonomiyaki (お好み焼き, okonomiyaki), littéralement okonomi (お好み, « ce que vous aimez / voulez ») et yaki (焼き, « grillé »), est un plat japonais composé d'une pâte qui enrobe un nombre d'ingrédients très variables découpés en petits morceaux, le tout étant cuit sur une plaque chauffante (Source Wikipedia).
C’est un plat qui est devenu très à la mode après la seconde guerre mondiale au Japon car il y avait pénurie de riz et ce plat était préparé avec de la farine de blé. Ma préparation à moi est à la farine de riz. 
Pratiquement chaque ville du Japon possède sa propre recette d’okonomyaki. La base est une sorte de pâte à crêpe (avec ou sans œuf, au choix) faite avec du dashi (poudre de bonite) dilué dans l’eau, dans laquelle on ajoute aussi du chou cabus (chou japonais), j’ai pris du chou blanc et j’ai suivi les indications trouvées sur le net, je l’ai fait blanchir.
On fait ensuite cuire sur une plaque chauffante, une poêle fait très bien l’affaire, et on ajoute la garniture (viande ou poisson) avant de retourner l’okonomyaki. Ainsi la garniture cuit à l’étouffé sous la crêpe. Ensuite il faut y mettre les condiments, cad une sauce spéciale que j’ai remplacée (suivant les indications du net) par de la sauce Tonkatsu, il faut y mettre aussi de la mayonnaise industrielle (pas mis, beurk), du nori vert (je n’avais que du noir et la flemme de le couper) et du gingembre mariné (dont je n’avis pas envie aujourd’hui).

La recette (pour deux personnes ou une très gourmande)
  • 100 grammes de farine de riz complet
  • Un œuf 
  • Un sachet de dashi
  • 100 ml d’eau
  • Du chou 
  • Garniture au choix, viande ou poisson, lard fumé...
  • Sauce tonkatsu
  • Mayonnaise industrielle 
  • Nori vert, on peut utiliser du noir
  • Gingembre mariné

Couper le chou très fin et le faire blanchir dans de l’eu bouillante salée. Égoutter et réserver.
Faire la pâte. Mettre le sachet de dashi dans de l’eau légèrement tiédie, bien remuer jusqu’à dilution.
Ajouter l’œuf à la farine, puis le bouillon de dashi et remuez vigoureusement pour qu’il n’y ait pas de grumeaux, ajouter ensuite le chou blanchi, une belle quantité, je dirai pas loin de moitié-moitié.
Faire chauffer tout doucement de l’huile dans une poêle, ajouter d’un coup toute la pâte et faire cuire à feu moyen avec un couvercle. Lorsque l’okonomyaki se décolle avec une spatule, ajouter dessus la garniture (viande ou poisson) puis tourner le 
et faites cuire un peu à couvert puis sans couvercle. Retourner le afin que la garniture soit dessus, ajouter la sauce tonkatsu, la mayonnaise, le nori et le gingembre, puis 
déguster.



Pour moi l’ajout de tous ces condiments doit se faire au goût de chacun...


mercredi 20 février 2019

Passion cuisine asiatique

Avec mon fils (anciennement surnommé l’ado [pour les anciennes lectrices du blog]) nous adorons la cuisine asiatique, nous sommes même très attirés par l’Asie. Il avait choisi le chinois en 3ème langue et nous l’avons même envoyé en voyage linguistique en Chine... 
À une époque, je préparais le repas de midi dans des boîtes à bento car ça nous plaisait... Cette passion de l’Asie, de sa culture et de sa gastronomie ne m’a pas quittée et je dois dire que depuis que je suis passée au sans gluten, la cuisine asiatique est pour moi une façon de manger plus saine et goûteuse...
J’ai la chance qu’en plus de l’ado, qui vient depuis quelques temps, manger régulièrement à la maison, mon amie Géraldine aime aussi la cuisine asiatique, du coup j’ai deux bêta testeurs à ma disposition. Je revisite donc certaines recettes afin qu’elles soient sans gluten et j’utilise les ingrédients asiatiques, tels que les feuilles à nems en pâte de riz pour faire par exemple des lasagnes ou des ravioles...
Je viens de retrouver le livret téléchargeable de Clea, (qui m’avait dédicacé en personne, son second livre à la Fnac de Nice), « Clea cuisine Japonais, plus ou moins » et ça m’inspire encore plus!!!
Clea a vécu au Japon et a toujours utilisé les ingrédients asiatiques qu’elle détourne de leur usage premier pour faire des plats originaux. Je n’ai rien inventé au niveau de la méthode, je m’inspire, ensuite lorsque je lis une recette qui me tente j’essaie de la transposer avec des ingrédients que je supporterai sans problème, elle m’inspire et m’accompagne dans ma cuisine depuis des années, j’ai découvert l’agar-agar grâce à elle et plein d’autes choses encore.
Pour moi cuisiner pour les gens à qui je tiens est un acte d’amour et je dois dire que je me fais plaisir tout en faisant plaisir à mon entourage.
Dans les phrases répétitives de ma vie, je dis souvent j’aurais dû naître asiatique, j’aurais dû naître juive... Je suis, je suis, Christina Yang de Grey’s Anatomy, là je vous l’ai faite façon « questions pour un champion »!!!
Alors asiatique, pourquoi? Pour la culture, pour la cuisine, pour le côté méticuleux et appliqué, pour l’art...
Alors juive pourquoi? Pour le côté interactif de vivre la religion. Je suis catholique. Lors des fêtes, nous allons à l’Eglise et nous mangeons (je schématise mais grosso-modo c’est ça). Les juifs célèbrent les fêtes à la synagogue, sur plusieurs jours en général, et les célèbrent à table en se référant à la Genèse et je trouve cela fabuleux et très beau dans son sens.

Bon, je suis française et catholique et je fais avec. Pour la religion c’est vrai que j’envie ce côté interactif, festif et familial et que j’aimerais être un jour invitée à célébrer Hanouka ou Pessah dans une famille traditionnelle juive, pour le côté asiatique et bien je cuisine et je régale mes proches...


mardi 19 février 2019

Arbre de vie

Aujourd’hui j’ai reçu mon amie Géraldine à déjeuner, déjeuner spécial, encore plus gourmand que d’habitude, oui, oui, on peut le faire, car aujourd’hui c’est son anniversaire.
Outre le repas, j’avais un cadeau pour Géraldine, un arbre de vie, que j’ai réalisé tout simple pour qu’il soit à son goût, avec une pierre centrale, la pierre de son signe zodiacal, une améthyste et j’ai choisi dans ma collection une superbe améthyste à chevrons de chez Cristal Source.
Sitôt le paquet déballé, Géraldine l’a posé sur mon lit pour bien le regarder et Freja, qui adore les améthystes surtout lorsqu’elle est en chaleur comme en ce moment, s’est jetée sur la pierre, je lui ai donc sorti sa druse à elle pour que Gégé puisse embarquer son cadeau.
Nous avons bien déjeuné, asiatique un peu comme souvent, nems et gyozas, puis j’avais fait le gâteau coup de cœur du moment, le moelleux marrons-chocolat avec une crème chantilly maison au sucre roux et à la vanille et nous avons bu un vin blanc doux divin.
Notre amie Sophie est venue nous rejoindre après son travail nantie d’une bouteille de vin blanc sec très bon aussi et nous avons passé un très bon moment entre filles et chats!!!
L’amitié fait beaucoup de bien. Nous avons trinqué toutes les 3 à nos 3 anniversaires, Sophie est du 16 février, Géraldine du 19 et moi du 31 janvier. Deux verseaux et un poisson ensemble, un beau moment que j’ai beaucoup apprécié.
Merci les copines.











lundi 18 février 2019

La trilogie Dragons

Je suis allée au cinéma voir Dragons 3. 
Grande aventure car je suis sortie de ma zone de confort, je suis allée au Pathé Gare du Sud, plus loin de chez moi que les deux cinémas où je vais d’habitude, bref, une avancée pour mon développement. J’avais rendez-vous avec mon amie Géraldine, son compagnon et Jeannine, la maman de Géraldine avec qui je suis allée balader la semaine dernière au soleil.
Bien entendu avant j’ai vu les deux premiers opus de Dragons. Merci la VOD. C’était une première pour moi, du coup j’ai regardé les films sur ma tablette, il va falloir que je me penche sur le sujet pour pouvoir en cas de location VOD, comment voir le film sur la télé.
La trilogie Dragons est une production Dreamworks à qui on doit aussi Schrek, Madagascar...
Dragons, c’est l’histoire d’un village viking, Beur, dont le chef Stoïk a un fils unique Harald qui lui donne du fil à retordre dans son apprentissage pour la lutte contre les dragons. Herald réalise un jour que les dragons sont gentils, qu’ils lui obéissent et il veut changer la façon de voir ces derniers pour son père et les villageois de Beurk.
Dragons 2, alors que vikings et dragons vivent en paix, Harald et ses camarades ont des différents avec Erett, un trappeur de dragons, qui veut livrer les dragons de Beurk à Drago qui utilise ces derniers comme esclaves. 
Harald veut tenter de convaincre Drago que les dragons sont bons, au terme d’une chevauchée fantastique en dragon, il découvre un monde de dragons et retrouve sa mère Valka que tout le monde croyait morte. 
Mais Drago arrive au milieu des retrouvailles, Crokmoo, le dragon d’Harald tue accidentellement Stoïk et Harald rejette son dragon qui fait allégeance au dragon alpha de Drago qui capture tous les dragons de Beurk. Valka, Harald, Astrid et les autres villageois partent à dos de bébés dragons, Crokmou et Harald font la paix, il y a une gigantesque bataille de dragons au cours de laquelle Crokmou devient le dragon alpha et la paix revient sur Beurk, les vikings et leurs dragons.
Dragons 3, le synopsis
Harold est maintenant le chef de Berk au côté d’Astrid et Krokmou, en tant que dragon, est devenu le leader de son espèce. Ils réalisent enfin leurs rêves de vivre en paix entre vikings et dragons. Mais lorsque l’apparition soudaine d’une Furie Eclair coïncide avec la plus grande menace que le village n’ait jamais connue, Harold et Krokmou sont forcés de quitter leur village pour un voyage dans un monde caché dont ils n’auraient jamais soupçonnés l’existence. Alors que leurs véritables destins se révèlent, dragons et vikings vont se battre ensemble jusqu’au bout du monde pour protéger tout ce qu’ils chérissent
 Mon avis
Je ne suis pas allée voir ce film en 3D, les horaires ne cadraient pas avec nos emplois du temps, cependant je dernier film vu en 3D m’avait laissé une grosse migraine donc pas de regrets à ce niveau.

Comme lors des deux premiers opus, l’histoire est belle, les graphismes fabuleux et Crokmou le dragon d’Harald a des mimiques qui me font terriblement penser à ma petite chatte Freja, donc inutile de vous dire que ce film est pour moi un craquage total. J’y suis bien sûr allée de ma petite larme, je suis bon public, donc quand il y a de l’émotion et bien je pleure et je n’ai pas honte. Je suis sortie du cinéma avec des étoiles plein les yeux, totalement emballée et sous le charme. C’est un film pour tous, grands comme petits et vraiment je ne regrette pas d’avoir loué les deux premiers pour voir le 3ème en toute compréhension.



vendredi 15 février 2019

Les bonheurs de la vie

Mardi et mercredi j’ai marché au bord de mer. Mon amie Géraldine avait la visite de sa maman qui vit en Alsace et pendant qu’elle avait des patients, elle m’a confié sa maman. Nous sommes allées marcher au soleil. Nous avons très beau temps ces jours-ci et c’est vraiment du bonheur d’aller marcher en bord de mer, au soleil de l’hiver. 
Juste une photo, prise au dessus de la plage de la police (pour les vieux niçois qui l’ont connue), le plaisir de voir le dégradé de couleurs de notre belle Méditerranée, le plaisir de discuter avec une personne adorable, de passer simplement de beaux moments. 

Merci Géraldine, merci Jeannine. 




jeudi 14 février 2019

Retrouvailles

Me voilà de retour après quelques jours de pause. Je n’ai pas assez de choses à dire pour publier tous les jours et pas forcément le temps aussi de publier un article par jour.
J’ai passé un week-end calme, tranquille à la maison, entre lecture, activité diverses, cuisine, rangement, ménage, etc.

Lundi j’ai eu le bonheur de déjeuner et de passer l’après-midi avec Catherine, une amie que j’ai connue lorsque j’étais en seconde au Parc Impérial. Autant dire que nous avions de nombreuses années d’absence à nous raconter, que nous nous sommes épanchées, raconté nos vies, nos envies et que nous avons ensemble un merveilleux projet théâtral. Nous nous sommes connues au Club Théâtre de notre lycée et Catherine a persévéré, elle est comédienne, je dois dire que je suis très tentée de remonter sur les planches et que nous avons un beau projet scénique qui nous tend les bras... Je n’en dirai pas plus sur le sujet pour le moment, just, to be continued...




samedi 9 février 2019

Trous de mémoire

Depuis quelques semaines, au moment de Noël exactement, j’ai pris conscience que j’ai des trous de mémoire. Ma mémoire à long terme va tes bien, seulement ma mémoire à court terme est catastrophique. Je sais que c’est une des conséquences de la fibromyalgie mais cela me consterne et me cause beaucoup de soucis... J’ai rdv chez le psy mardi, ensuite je verrai le généraliste et puis si il faut un spécialiste, j’irai voir un spécialiste...
En attendant il va falloir trouver des solutions pour vivre cet état de fait au quotidien sans trop galérer. Un exemple, je possède plusieurs paires de lunettes de soleil, à ma vue en verre progressifs, en verres semi-progressifs, pas à ma vue, etc. Hier je suis allée pic-niquer sur les chaises bleues de la Promenade des Anglais car il faisait super beau, et bien pauvre de moi, je n’ai trouvé que la paire qui passe juste sur la cicatrice de mon visage alors que pas plus tard que la semaine dernière j’ai mis chaque paire dans un étui en me disant je les range là comme ça je les retrouverai facilement, je m’en souviendrai!!! Il en va de même pour le chargeur de mon appareil photo, j’en passe et des meilleures...
Je range beaucoup de choses dans des boîtes, avant je savais dans quelle boîte trouver ce que je cherche, là il va falloir que j’étiquette toutes mes boites car lorsque je cherche du ruban, par exemple, je e vis pas ouvris une dizaine de boites en vain...
J’ai aussi pensé à faire un cahier pense-bête où je noterai où je range les choses. Je note déjà les films que je vais voir au cinéma, les livres que je lis car sinon je ne m’en rappelle plus...
J’espère que ces trous de mémoires ne sont qu’un passage car ce n’est pas évident, j’espère qu’ils ne sont qu’une des nombreuses conséquences de la fibromyalgie et pas quelque chose de plus grave... De toutes façons pour le moment je ne veux même pas y penser, je veux seulement retrouver les affaires que je cherche. Je vais aussi faire travailler ma mémoire.

Je vous laisse et je vous donnerai des nouvelles mais là j’ai reçu 20 mètres de corde pour refaire les poteaux de l’arbre à chats que la Tribu a massacré en quelques mois. Je vous souhaite un bon week-end et vous dis à très vite.


vendredi 8 février 2019

3 secondes

Pour changer du cinéma, un peu de lecture. 
Un policier bien sûr, un suédois de surcroît, tout pour me plaire. Je dois dire que ce livre sort du lot, du schéma classique du flic ou de la brigade à qui on s’attache puisque ce livre parle de la vie des infiltrés au travers une intrigue puissante et musclée où l’action bat son plein. Et puis même si « l’inflitré » n’est pas quelqu’un de bien, on s’attache tout de même à lui. À ranger dans la catégorie bons polars!!!

Résumé
Piet Hoffmann est le meilleur agent secret de la police suédoise. Même sa famille n’est pas au courant de sa double identité. Quand un jour une transaction de drogue avec la mafia polonaise se transforme en bain de sang, sa couverture est en danger.
Il mène une double vie. Celle avec sa femme et leurs deux petits garçons, pour qui il ferait tout. Et celle d’agent secret ayant infiltré la mafia polonaise. Il risque sa vie chaque jour, mais sa nouvelle mission est de toutes la plus dangereuse : enfermé dans une prison de haute sécurité, il doit faire face aux pires criminels et s’imposer comme nouveau dealer.

Lorsque l’unique policier à savoir qui il est disparaît et que les gangsters ne croient plus à sa couverture, l’homme aux deux noms sait qu’il est maintenant seul contre tous, que dans trois secondes il peut être mort – et que la vie de ceux qu’il aime est en danger, si l’on découvre sa vraie identité…


mercredi 6 février 2019

Vivre avec la fibromyalgie

Il y a très longtemps que je n’ai rien publié sur la fibromyalgie car j’ai décidé de la faire passer en arrière plan de ma vie et de vivre coûte que coûte comme je le souhaite. Cependant aujourd’hui je vais lever le voile, je discutais ce matin avec un ami qui ne me voit que lorsque je suis bien. En effet je ne vois les gens que lorsque je me sens bien et que je suis relativement en forme (sauf exception avec les personnes dont je suis très proche), je ne prends des selfies que lorsque ma tête est photographiable et ainsi de suite.
Alors au quotidien, c’est comment d’être fibromyalgique?
J’ai beaucoup de chance car j’ai fait avec l’aide de Géraldine, en soins énergétiques et en shiatsu un gros travail sur moi qui m’a permis de savoir depuis quand je souffre de la fibromyalgie et pourquoi. 
Depuis j’ai admis cette maladie et je gère mieux la douleur. 
Mais il n’empêche que c’est au quotidien, été comme hiver, la sensation désagréable d’avoir les os gelés dans son corps et parfois même transpirer en même temps... Je n’ai pas senti les bouffées de chaleur de la ménopause car j’ai des bouffées de chaleur depuis que j’ai 11 ans!!!  
C’est aussi des douleurs dans tout le corps, des douleurs aux côtés, dans les hanches, les bras, les jambes, les mains, les cervicales... 
C’est la présence fréquente d’acouphènes, oh tiens, j’ai les oreilles qui sifflent, et bien chez moi ce phénomène s’accentue avec le temps. Je suis aussi hyperacousique, j’entends tous les sons de manière exagérément forte, pour aller au cinéma je porte des filtres anti-bruits dans mes oreilles sinon je ne peux supporter le volume sonore du film...
C’est, pour moi comme pour bon nombre de fibromyalgiques, l’intolérance au gluten. J’ai constaté que depuis un an que je mange sans gluten, mes douleurs ont diminué. J’ai de la chance, je supporte encore le lactose, lucky me!!!
Ce sont aussi, et c’est avec les douleurs le pire à endurer, les problèmes de sommeil... On peut rester toute la nuit à attendre le sommeil, on peut dormir très bien et se réveiller le matin fatigué car notre sommeil n’est pas profond et ne nous permet pas de récupérer...

Je passe d’autres symptômes sous silences car je ne veux pas écrire un roman, je veux juste dire que la fibromyalgie n’est pas facile à vivre au quotidien, que ma philosophie de vie me permet de mieux l’accepter qu’avant mais que la maladie est toujours présente même si je n’en parle que très rarement.


Les Estivants

Hier, je suis allée au cinéma. Rien de nouveau puisque j’ai repris ma carte d’abonnement et que je compte l’amortir. Je suis allée voir Les Estivants, le dernier film de Valeria Bruni-Tedeschi.
Synopsis 
Une grande et belle propriété sur la Côte d’Azur. Un endroit qui semble hors du temps et protégé du monde. Anna arrive avec sa fille pour quelques jours de vacances. Au milieu de sa famille, de leurs amis, et des employés, Anna doit gérer sa rupture toute fraîche et l’écriture de son prochain film. Derrière les rires, les colères, les secrets, naissent des rapports de dominations, des peurs et des désirs. Chacun se bouche les oreilles aux bruits du monde et doit se débrouiller avec le mystère de sa propre existence.
Mon avis
J’avais déjà dit que les films de Valeria Bruni-Tedeschi n’étaient pas pour moi et bien je le confirme. Je serais bien partie au milieu mais alors que la salle était quasi-déserte une dame est venue se planter à côté de moi. Maintenant que j’ai pris l’habitude d’aller seule au ciné, sa présence et cette promiscuité m’ont gênées...

Sans même connaître profondément la famille Bruni on sent une grosse part autobiographique dans ce film. Le film est moitié en français, moitié en italien, c’est ballot, moi j’ai fait espagnol au lycée, mais lorsque j’avais vu Habemus Papam en italien la langue était plus fluide et bien plus compréhensible pour moi. Nous arrivons dans le Var, dans une belle demeure familiale, en pleine rupture amoureuse de la principale protagoniste de l’histoire et réalisatrice du film, au milieu d’un conflit de lutte des classes, de deux deuils à faire, le frère  de la réalisatrice et une amie très proche de la famille dont les cendres seront dispersées dans la mer avec un rituel glauque... Les personnages sont inconsistants, le film est mièvre... Bref, j’aurais mieux fait de rester chez moi!!!


mardi 5 février 2019

Un an sans gluten, bilan

Ces jours-ci cela fera un an que je mange sans gluten. Un an que j’ai révolutionné mon mode alimentaire.
Je me souviens, il y a un an, lorsque j’ai pris conscience que j’étais intolérante au gluten et qu’à ce moment là mon corps disait non de toutes ses forces au gluten, j’étais physiquement très mal et j’étais effondrée à l’idee de ne plus manger ni pâtes, ni pizzas, ni gâteaux... Je n’imaginais pas pouvoir vivre sans gluten. Le médecin a été clair, continuez le gluten si vous voulez, outre les maux et problèmes digestifs que vous avez, vous vous dirigez à grands pas vers une nécrose de l’intestin...
Et là, je n’ai plus réfléchi, j’ai abandonné le gluten...
Au début mes menus n’étaient pas très variés, légumes et riz, riz et légumes, puis peu à peu j’ai découvert plein de choses, je me suis mise à manger des légumineuses, autre que des lentilles que je mangeais déjà, je me suis mise à cuisiner différemment et depuis je cuisine quasi quotidiennement, je me régale, mes convives se régalent et en réclament encore. Il n’y a rien qui me fasse plus plaisir qu’un convive qui fasse honneur à mes plats cuisinés, dernièrement ma choucroute de la mer ainsi que mes lasagnes épinards-ricotta ont été plébiscités pour mon plus grand bonheur.
Car oui, je fais des lasagnes!!! À la place de la traditionnelle feuille à lasagnes Barilla, j’utilise de feuilles de riz pour faire les nems. Rien de plus simple et c’est vraiment très bon, mon fils dont la folie est les lasagnes, trouve cela excellent. Il préfère manger les lasagnes comme ça que pas de lasagnes du tout et vu la taille des parts qu’il se sert je n’ai aucun doute sur le fait que mes lasagnes soient excellentes!!!
Alors au bout d’un an sans gluten quel est le bilan pour moi?
Plus de problèmes digestifs ni intestinaux, une réduction des douleurs chroniques de la fibromyalgie, une jolie perte de poids, perte due aussi au fait que je fais attention à manger équilibré, je remarque que je n’ai plus l’addiction au sucré que j’avais par le passé, je mange même les yaourts sans sucre, blancs nature... 

J’avoue humblement que si le médecin ne m’avait pas fait si peur, je n’aurais jamais abandonné le gluten, maintenant cela ne me manque plus, Dieu merci les macarons sont sans gluten, et je prends conscience que cela faisait très longtemps que j’étais intolérante au gluten. Au bout de 50 ans, mon corps a tiré suffisamment fort la sonnette d’alarme pour que mon esprit accepte de comprendre.







lundi 4 février 2019

Holy Lands

La semaine passée, je suis allée voir Holy Lands. Film que j’ai choisi à cause de son synopsis original et de sa distribution. James Caan, Rosanna Arquette et Patrick Bruel... Pour Patrick Bruel, j’assume mon côté midinette, c’est l’idole de ma jeunesse, mon grand amour lui ressemblait, bref je ne suis pas objective!!! 
Synopsis 
Harry, juif apostat et cardiologue à la retraite, originaire de New York, décide soudainement d’aller s’établir comme éleveur de porcs à Nazareth, en Israël. Une décision mal vécue par les locaux comme par sa propre famille. Restée à New York, après s’être découvert un cancer, son ex-femme Monica tente de gérer la vie de leurs grands enfants Annabelle et David, et revisite son histoire d’amour avec Harry. Contre toute attente, c'est auprès du Rabbin Moshe Cattan, qu’Harry va accepter d'affronter la vie et son issue.
Mon avis
Dotée d’un grand sens de l’humour, je n’avais vu que le côté amusant du film à la lecture du synopsis. Je suis tombée dans un drame familial plein de beaux sentiments. Un film fort sur l’amour de parents envers leurs enfants, un film sur les rapports compliqués d’un père avec l’homosexualité de son fils, l’immaturité de sa fille. 
James Caan, vieilli, interprète un vieil homme acariâtre, on se rendra compte peu à peu qu’il est attachant , ce sont les circonstances de la vie qui l’ont rendu acariâtre. On verra son amitié avec le rabbin se développer au cours du film, amitié qui était fort mal engagée puisque le rabbin essayait à tous prix de le convaincre d’arrêter son élevage de porcs... Rosanna Harquette, en mère hypocondriaque puis ensuite réellement malade est époustouflante, elle est la mère juive abusive telle qu’on la décrit, mais elle est tellement belle dans son amour maternel. Quand à Patrick Bruel, il est là, vieilli, toujours séduisant, dans le rôle de l’ami qui va aider cette femme, son amour de toujours, celle à qui il n’a jamais rien dit car elle a épousé son meilleur ami, à aller vers l’acceptation du cancer et vers la mort. 
Je suis sortie emballée par ce film, par tous ces merveilleux sentiments. Nous étions 3 dans la salle, une dame m’a parlé avant le film, elle voulait savoir pourquoi j’avais été voir ce film. Non je ne suis pas juive, mais j’ai d’excellents amis juifs et je trouve la religion juive au travers de ces événements (Hanouka, Pessah, Yom Kippour) tellement plus festive et symbolique que la mienne que c’est un film que je n’aurais raté pour rien au monde.


dimanche 3 février 2019

Ben is back

Le dernier film de ma journée marathon ciné a été Ben is back avec la talentueuse Julia Roberts. Julia Roberts fait partie des actrices que j’adore, je la trouve non seulement belle mais lumineuse et rayonnante même sans les tenues haute couture de Pretty Woman.
Synopsis 
La veille de Noël, Ben, 19 ans, revient dans sa famille après plusieurs mois d’absence. Sa mère, Holly, l’accueille à bras ouverts tout en redoutant qu’il ne cède une fois de plus à ses addictions. Commence alors une nuit qui va mettre à rude épreuve l’amour inconditionnel de cette mère prête à tout pour protéger son fils.
Mon avis

Je suis allée voir ce film en VO par choix, le synopsis était assez explicite mais je ne m’attendais pas à un tel déferlement d’émotions. Voir Julia Roberts en mère de famille qui lutte contre l’addiction de son fils à la drogue était magnifique. On sent tellement d’amour et de détermination dans Holly Burns (le personnage de Julia Roberts) à sauver son fils de ses démons tout en ménageant ses autres enfants et son mari que c’est émouvant. Le film est de plus très actif, il n’y a pas une seconde de temps mort et jusqu’au bout le te intense.



Au bout des doigts

Le second film de mon samedi ciné a été un film français, en 6ème semaine de diffusion, autant dire qu’il n’y avait pas grand choix sur les horaires, mais j’avais envie de le voir, il s’agit de Au bout des doigts, avec Lambert Wilson et Kristin Scott Thomas. Ce sont deux acteurs que j’apprécie beaucoup. Durant les fêtes, on nous bien inévitablement diffusé La Boom 1 et 2, que bien sûr j’ai regardé, c’est ma jeunesse et ça m’a fait drôle de voir un Lambert Wilton ridé, barbu, quinquagénaire quoi... Et toi Lola, tu n’as pas vieilli de 35 ans aussi depuis La Boom 2, euh, moi, noooon!!!
Synopsis :
La musique est le secret de Mathieu Malinski, un sujet dont il n’ose pas parler dans sa banlieue où il traîne avec ses potes. Alors qu’un des petits cambriolages qu’il fait avec ces derniers le mène aux portes de la prison, Pierre Geitner, directeur du Conservatoire National Supérieur de Musique l’en sort en échange d’heures d’intérêt général. Mais Pierre a une toute autre idée en tête… Il a décelé en Mathieu un futur très grand pianiste qu’il inscrit au concours national de piano. Mathieu entre dans un nouveau monde dont il ignore les codes, suit les cours de l’intransigeante « Comtesse » et rencontre Anna dont il tombe amoureux. Pour réussir ce concours pour lequel tous jouent leur destin, Mathieu, Pierre et la Comtesse devront apprendre à dépasser leurs préjugés…
Mon avis :

Même si dès le départ on connaissait la fin, un happy end, ça ne m’a pas empêchée de trouver ce film merveilleux. Encore une fois la prépondérance de la musique a joué son rôle à merveille. Les acteurs dont le jeune Jules Benchetrit, fils de la regrettée Marié Trintignant et de Samuel Benchetrit joue son rôle à merveille, rôle pour lequel il a pris des cours intensifs de piano et rôle qui lui vaut d’être sur la liste des 34 révélations des César 2019. Lambert Wilson et Kristin Scott Thomas sont comme on les attend, sublimes. Alors je vous paraît peut-être enthousiaste et dithyrambique mais comme je l’ai dit précédemment j’adore la musique, surtout lorqu’elle est bien interprétée et la je me suis régalée.






Green Book : Sur les roues du Sud

Ce samedi il pleuvait, du coup j’ai fait journée cinéma, entrecoupée de quelques courses alimentaires, je suis même partie au cinéma avec 4 paquets de farines sans gluten... Pourquoi 4, car 4 farines différentes...
Le matin je suis allé voir Green Book, sur les routes du Sud.
Synopsis :
En 1962, alors que règne la ségrégation, Tony Lip, un videur italo-américain du Bronx, est engagé pour conduire et protéger le Dr Don Shirley, un pianiste noir de renommée mondiale, lors d’une tournée de concerts. Durant leur périple de Manhattan jusqu’au Sud profond, ils s’appuient sur le Green Book pour dénicher les établissements accueillant les personnes de couleur, où l’on ne refusera pas de servir Shirley et où il ne sera ni humilié ni maltraité.
Dans un pays où le mouvement des droits civiques commence à se faire entendre, les deux hommes vont être confrontés au pire de l’âme humaine, dont ils se guérissent grâce à leur générosité et leur humour. Ensemble, ils vont devoir dépasser leurs préjugés, oublier ce qu’ils considéraient comme des différences insurmontables, pour découvrir leur humanité commune. 
Mon avis :
Dès la diffusion de la bande annonce, je savais que j’irai voir ce film. J’ai choisi de le voir en VO et vraiment je ne regrette pas mon choix.

Dès le début du film on sent que Tony Lip à des problèmes avec les «noirs» comme bon nombre d’américains à cette époque, au contact du Docteur Shirley, on le voit changer, évoluer, on voit une relation merveilleuse naître entre cette homme du Bronx, simple, rustre et ce pianiste cultivé et raffiné. J’ai ressenti beaucoup d’émotion à la vue de chef d’oeuvre, le musique omniprésente est sublime. Je suis une amoureuse de musique et je dois dire que là j’ai été servie. L’interpretation de Viggo Mortensen est grandiose comme l’est tout autant celle de Mahershala Ali. Le film repose sur les épaules de ces deux acteurs qui sont époustouflants.


samedi 2 février 2019

Edmond, abonnement cinéma

Même si le blog est en travaux pour quelques temps (le design  rose est de retour mais je veux apporter des améliorations), je publie pour réouvrir une rubrique que je n’alimentais plus depuis pas mal de temps, la rubrique Cinéma. J’ai repris un abonnement Pathé-Gaumont et j’ai l’intention d’aller souvent au cinéma car j’ai franchi une nouvelle étape, j’y vais seule!!!
Le 20 janvier, je suis donc allée voir Edmond, dont un ami m’avait parlé en bien, et je dois dire que je suis emballée.
Synopsis :
Décembre 1897, Paris. Edmond Rostand n’a pas encore trente ans mais déjà deux enfants et beaucoup d’angoisses. Il n’a rien écrit depuis deux ans. En désespoir de cause, il propose au grand Constant Coquelin une pièce nouvelle, une comédie héroïque, en vers, pour les fêtes. Seul souci : elle n’est pas encore écrite. Faisant fi des caprices des actrices, des exigences de ses producteurs corses, de la jalousie de sa femme, des histoires de cœur de son meilleur ami et du manque d’enthousiasme de l’ensemble de son entourage, Edmond se met à écrire cette pièce à laquelle personne ne croit. Pour l’instant, il n’a que le titre : « Cyrano de Bergerac ».
Mon avis :
Ce film est pour tous publics mais je pense que les amoureux des belles lettres trouveront un grand bonheur à écouter déclamer des vers.
J’ai passé un moment excellent, j’ai ri, j’ai beaucoup ri, le film est bien mené, on ne s’ennuie pas et les acteurs sont très bons.

Pour le premier film depuis ma reprise de cinéma, je dois dire que je suis sous le charme.


Le Cookeo, mon nouvel ami

Un nouvel ami est entré dans ma vie, le Cookeo. J’en avais très envie et par un heureux concours de circonstances, il se trouve que je l’ai ...